Nouveau plugin Revit !

Le voici, le voilà, c’est le nouveau plugin REVIT pour vous faciliter la vie ! 😃

Développé spécifiquement par BIMConsult pour remplir simplement et précisément les « niveaux I & D des niveaux GID » mis en place au Luxembourg. Mais… C’est quoi les niveau GID au Luxembourg ? 🧐

Commençons par le commencement… L’acronyme !

G : géométrie

I : information

D : documentation

Alors d’accord, maintenant vous savez ce cela veut dire mais… à quoi ça sert ? On y vient, on y vient…

Les niveaux GID prennent en compte toutes les données nécessaires et partagées au cours d’un projet et sont classés en trois catégories : les modèles géométriques, l’information et la documentation. Super pratique n’est-ce pas ? 😃

Mais ce qui l’est encore plus, c’est que pour chaque phase du projet (APS, APD, Soumission, Exécution, Exploitation) un niveau de granularité est indiqué. Mais si, vous savez… La granularité c’est le plus petit niveau de détail géré 😉.

Ainsi, la maquette se voit attribuer une note en fonction de sa qualité !

Vous êtes perdus lorsque vous devez remplir les niveaux GID ? 😱 Lisez la suite, ça va vous intéresser ! 😉

Tadam et roulements de tambour ! 🥁 Grâce à notre super plugin, en adéquation avec les fiches GID du CRTI B, plus de prise de tête lors du remplissage des informations, tout est désormais simplifié ! Et surtout… plus précis ! Magique n’est-ce-pas ? On n’est pas peu fiers, on doit bien l’avouer 😎.

Envie d’en savoir plus sur notre plugin REVIT ? Contactez-nous par 📧 contact@bimconsult.lu ou ☎️ +352 28 55 38 1.

Adoption du BIM en Europe !

Mais où en sommes-nous ??

Vous le savez, le monde qui nous entoure devient chaque jour plus avancé sur le plan technologique. Avec l’urbanisation croissante et les villes intelligentes, les pays du monde entier ont commencé à prêter attention au BIM.

Voyons comment les différents pays européens progressent dans l’adoption du BIM. 🧐📈

Tout d’abord, sachez qu’en 2016, la valeur estimée du marché du BIM en Europe était de 1,8 milliard d’euros et qu’elle devrait atteindre 2,1 milliards en 2023. Oui, oui ! Vous avez bien lu… 2,1 milliards d’euros ! 😲

L’Autriche et la Norvège ont été les premiers pays à mettre en place des normes BIM ouvertes et un mandat BIM ouvert exigeant la mise en œuvre du BIM de niveau 3 pour tous les projets publics, respectivement en 2015 et 2016. La Suède, la Finlande, le Royaume-Uni, le France et la Russie ont suivi le mouvement en mettant en place des mandats BIM de niveau 2 et ont d’ores et déjà adapté différents calendriers de passage au BIM de niveau 3.

Mais… Qu’est-ce qu’un niveau BIM ?

C’est simple vous allez voir. Qui dit normes BIM, dit différents niveaux de BIM. Ces niveaux vont de 1 à 3 en fonction du niveau de maturité BIM. Le niveau 1 est assigné lorsqu’il y a absence de collaboration, et que les modèles sont utilisés « pour soi ». Le niveau 2 introduit les échanges de modèles asynchrones, dans un format interopérable. Le niveau 3, quant à lui, est donné dans le cas d’un travail collaboratif synchrone via une maquette numérique unique partagée. Vous voyez, on vous avait dit que c’était simple. 😉

Pour structurer leur BIM, de nombreux pays ont mis en place des programmes BIM nationaux ou des organisations gouvernementales en charge d’un programme BIM. C’est notamment le cas en Allemagne, France, Finlande, Pays-Bas, Norvège, Espagne, Royaume-Uni ou encore au Danemark.

Le souci, nous direz-vous ?

Les pays européens vont devoir faire face aux risques liés à cette absence de coordination entre eux. Il n’est jamais simple de mettre tout le monde d’accord, n’est-ce pas ? 😅

Pour régler ce détail avant qu’il ne pose trop de problème, un groupe de travail européen BIM a été créé : l’UE BIM Task Group. Ce groupe est un réseau échangeant autour des compétences du secteur public dans le BIM. Son objectif ? Encourager l’adoption du BIM par le secteur public européen afin d’améliorer la rentabilité et la qualité des constructions publiques mais aussi la durabilité de l’industrie en Europe.

On espère aussi voir apparaitre de plus en plus de documents normatifs à l’échelle européenne, comme par exemple la récente norme ISO 19650.

Le BIM de demain

Si aujourd’hui on voit le BIM avant tout comme un moyen de mieux collaborer et de produire le « jumeau numérique » du futur bâtiment à exploiter, des opportunités encore plus innovantes s’offrent à nous pour l’avenir. Parmi les nouveaux usages envisagés dans la thématique « green building », il est question de prendre en compte l’empreinte carbone d’un bâtiment et de ses matériaux avant sa construction et le taux de recyclabilité des matériaux avant sa déconstruction. Sans oublier la possibilité d’associer BIM et IOT pour contrôler les comportements effectifs d’un bâtiment et leurs impacts sur sa consommation d’énergie.

Vous l’avez compris, le BIM s’impose progressivement dans les consciences comme une solution de plus en plus intéressante pour optimiser les processus durant tout le cycle de vie des bâtiments.

Et au Luxembourg alors ? Eh bien au Luxembourg, le CRTI-B propose des outils et méthodes ainsi que des formations adaptées depuis la première publication du « Guide BIM Luxembourgeois » en 2018. Et si vous avez besoin d’une assistance plus personnalisée, on est là pour vous accompagner. BIM Ready, BIM AMO, BIM Manager ou encore BIM services, nous avons un panel de services à vous proposer.

Alors, vous vous lancez dans l’aventure BIM avec nous ? 😉

De la 2D à la 7D

À l’ère de la numérisation, l’innovation BIM est passée des dimensions de base 2D, 3D et 4D à des niveaux de plus en plus avancés et plus profonds tels que les dimensions BIM 5D, 6D et 7D. Besoin d’un récap ? 🤓 C’est parti !

Dans les premiers outils BIM 3D, des informations contextuelles sont ajoutées au modèle tridimensionnel : les matériaux proposés ou les mesures effectuées ; ce qui est très utile pour représenter des projets très complexes. Une autre avancée a été le BIM 4D, où la dimension temporelle est intégrée, c’est-à-dire les informations sur les délais de fourniture et d’exécution nécessaires à la réalisation du projet. Ensuite, il y a eu le BIM 5D, où les coûts associés au processus de construction sont ajoutés. Avec le BIM 6D, les informations ajoutées concernent la soutenabilité des matériaux et leur empreinte écologique.

Ainsi, chaque mesure amplifie les données associées à un modèle pour apporter une compréhension plus profonde du projet. C’est bon, vous ne vous êtes pas perdu dans une dimension ? 😉 Maintenant, concentrons-nous sur la 7D : la maintenance.

On le sait, le coût d’exploitation d’un bâtiment sur une période de 30 ans peut être quatre fois supérieur à celui de sa conception et de sa construction. Oui, oui, 4 fois supérieur ! 😲 Mais le BIM 7D peut régler ça. Ah… on vous voit être un peu plus attentif tout à coup 😂 Allez, on vous explique comment ça marche !

Le BIM 7D concerne l’administration des installations par les gestionnaires et les propriétaires de bâtiments. Il est utilisé pour suivre les données importantes de ceux-ci telles que l’état général où celui de matériaux spécifiques, les informations de garantie, les spécifications techniques, etc…

Le BIM 7D est une approche unique où tout ce qui concerne le processus de gestion des installations est rassemblé en un seul endroit, dans le modèle d’information du bâtiment. L’utiliser contribue à améliorer la qualité de la prestation de services pendant tout le cycle de vie d’un projet. L’utilisation du BIM 7D garantit que tout dans le projet reste en bon état, de son premier jour jusqu’à sa démolition.

Finalement, avec le BIM 7D, nous clôturons le cycle de vie du projet.

Mais il ne s’arrête pas là… il aborde également l’aspect crucial de la durabilité des bâtiments. Il est vraiment fort celui-là ! 💪

Alors que son objectif principal est de coordonner l’estimation du coût de vie complet du bâtiment pour aider les constructeurs à prendre des décisions qui dépendent des informations sur les performances, le BIM 7D va plus loin encore. Au cours de certaines recherches, il a été découvert qu’il pourrait aider à atteindre au Royaume-Uni l’objectif zéro carbone net d’ici 2050 et une réduction de 33% du coût de la vie entière du bâtiment d’ici à 2025 !

Alors, le BIM 7D n’a-t ’il pas un grand potentiel pour ouvrir une autre voie dans le monde de la construction ? 🍃 😏

Digital twin, quésako ?

Nombreux sont ceux ayant déjà entendu le terme « Digital Twin » ou « Jumeau numérique » mais savez-vous ce qu’il signifie ? Non ? Alors cet article est pour vous ! Et pour les autres, nous sommes certains que vous apprendrez tout de même 2-3 trucs. 😉

Pour les novices, un « Digital Twin » est une représentation virtuelle, une réplique numérique, en temps réel d’un objet, d’un processus, d’un système ou dans le cas qui nous intéresse, d’un bâtiment. 🏗️ Mais attention, un jumeau numérique n’est pas un modèle BIM. Le concept est beaucoup plus large !

Ce qu’il faut savoir est que le BIM et les stratégies de jumelage numérique reposent sur un certain nombre de principes communs et que les deux visent à améliorer la visibilité des processus, à aligner les parties prenantes et à soutenir la planification. Vous nous suivez ? 🧐 Oui ? Très bien, on peut donc continuer !

Ce que vous devez comprendre ensuite, c’est que le BIM fait partie intégrante du jumeau numérique mais qu’il n’intègre pas l’exploitation et la maintenance d’un bâtiment, et encore moins les interventions opérationnelles en temps réel ! Et… c’est là que le jumeau numérique entre en scène !

Il recueille des informations du monde réel et crée des prototypes d’haute-fidélité d’un bâtiment. Le « jumeau » rassemble des informations à partir de plusieurs sources telles que les algorithmes et l’intelligence artificielle pour obtenir et analyser en permanence des informations sur les performances, le fonctionnement ou l’efficacité du projet, qu’il soit construit ou en cours. Et ce sont toutes ces informations qui lui permettent d’améliorer les systèmes de construction. Il agit comme une réplique virtuelle de l’environnement physique.

Mais pourquoi faire ? Le Digital Twin permet, par exemple, d’optimiser le système CVC (chauffage, ventilation, climatisation – on sait que vous savez mais on préfère préciser 😊) pour un meilleur climat intérieur et une consommation d’énergie moindre. On vous avait dit qu’il était utile ! 🤓

Les jumeaux numériques sont prometteurs dans l’environnement de conception et de construction. Ils peuvent recréer un bâtiment numériquement avant la construction réelle, ce qui conduit à de meilleures décisions de conception.

Une fois le projet terminé, le jumeau numérique est utile pour les modifications des bâtiments, l’exploitation et la maintenance des installations. Bref, vous avez tout intérêt à l’adopter ! 😊

Optimiser l’exploitation et la maintenance des bâtiments avec le BIM

Savez-vous que le BIM peut vous aider à optimiser l’exploitation et la maintenance de vos bâtiments ? Non ? Pas de panique, on vous explique ! 😉

Prenons l’exemple de la commune de Mondercange. Elle vient de lancer son premier projet BIM : la réalisation d’une maison relais de 5000 m² qui accueillera près de 30 classes et 650 élèves. Cette maison relais c’est aussi le premier projet BIM pour une commune au Luxembourg. Et vous savez quoi ? C’est BIMConsult qui effectue le BIM Management (on n’en est pas peu fiers !) 😊 Et ça avance plutôt bien… La construction a en effet été officiellement lancée le 28 septembre !!!

Et les avantages du BIM dans tout ça vous nous direz ? On y arrive, on y arrive !

Concrètement, lorsque l’on déploie le BIM sur une structure, on crée une maquette numérique de l’ensemble, représentant à la fois ses caractéristiques physiques et fonctionnelles. De la conception à l’utilisation, en passant par la construction, l’usage du BIM répond à des objectifs d’efficacité, de réactivité, d’anticipation et d’optimisation. Vous nous suivez ? 🧐

Ainsi, travailler en BIM est avantageux pour de multiples raisons. Tout d’abord, le BIM assure une meilleure coordination au sein de la maitrise d’œuvre et évite donc les erreurs classiques liées à la mauvaise communication. Ensuite, il permet d’obtenir une maquette d’exploitation qui permet d’avoir une vue précise des surfaces et éléments qui nécessitent une maintenance. Enfin, pouvoir faire des appels d’offres concernant la maintenance qui seront facilement comparables. 

En résumé, vous avez tout à y gagner ! Ne dites pas « trop complexe », vous savez bien qu’on ne vous lâchera pas dans la nature comme ça, on travaillera ensemble. Ne dites pas non plus « trop de temps ! », le BIM vous en fera gagner au centuple sur les années d’exploitation du bâtiment.

Alors, convaincus ? Vous suivez l’exemple de la commune de Mondercange et passez au BIM maintenant ? 😀

Data Mining : plus de productivité dans la construction ?

La productivité n’a pas beaucoup changé dans l’industrie AEC (Architecture, ingénierie, construction). Pourtant, c’est bien elle qui fait son succès. 🥇 Comment repenser notre façon de travailler pour être plus efficace ? Grâce au BIM bien sûr ! 😉

Le BIM (Building Information Modeling) a un fort potentiel pour nous aider à repenser notre flux de travail. Mais il faut d’abord commencer par comprendre son ensemble, de l’équipe VDC (ou Virtual Design & Construction pour les novices, mais il n’y en a plus beaucoup maintenant 😉) à l’équipe terrain, afin d’identifier les potentiels domaines d’amélioration.

Comment repenser ce flux de travail ? Et bien effectivement, en extrayant toutes les données disponibles, en effectuant des corrélations entre elles, pour finalement les ULTRA EXPLOITER !!!

Mais comment faire, nous direz-vous ? C’est simple, vous allez voir. Beaucoup d’outils nous permettent de les extraire et les analyser automatiquement (un processus manuel serait trop sujet aux erreurs… et un tout petit long 🙁) pour déterminer où le projet a besoin d’un soutien supplémentaire et développer des solutions pouvant être déployées rapidement.

Eh oui, c’est là que les outils BIM entrent en jeu 😉 Revit, Dynamo, AutoCAD, Navisworks… En plus des informations du modèle, vous allez analyser les fichiers journaux du logiciel. Pour une efficacité maximale, une base de données doit être liée au projet. Il existe plusieurs façons de le faire, vous pouvez par exemple utiliser Revit DB Link ou Autodesk Forge. Concernant les informations sur site, vous pouvez utiliser un outil comme Bluebeam Revu. Ce type d’outil permet notamment de créer un rapport facile à lire sur le site chaque jour, qui peut être sauvegardé dans une base de données… Autant de temps gagné pour les équipes et d’erreurs en moins sur tout le processus de conception… Désormais, aucune donnée n’échappe à la collecte 🧐

Maintenant, vous avez une multitude de données mais il ne suffit pas de les stocker, encore faut-il les exploiter ! C’est là qu’entre en scène le Data Mining. 🎬

Le terme Data Mining désigne l’analyse de données et le fait de les transformer en informations utiles. Tableaux de bord de pilotage, études d’optimisation des process de collaboration… les analyses qui sont réalisées ensuite dépendent des besoins de chacun. Bien utilisé, le Data Mining saura tirer les enseignements contenus dans cette masse de données pour vous aider à repenser votre flux de travail et donc gagner en efficacité. 👍

Oui, ça fait un peu de travail en perspective mais effectivement la clé pour être plus efficace est de comprendre votre façon de travailler à chaque étape du projet pour anticiper vos besoins et améliorer vos processus. Alors, convaincu ? 😏